yosh face au reste du monde
mes amis mes amours mes ... vous connaissez la chanson!
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Défouloir de mes neurones
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Rien q'une seconde encore
--> A force d'être seule...
Rien qu'une seconde encore retenir son souffle dans ma nuque , ses mains sur mes hanches et son rire dans mes cheveux.
Rien qu'une seconde encore me croire une autre et y croire à nouveau.
Qu'au détour d'une plaisanterie nos regards se croisent et que la donne change que soudainement tout s'arréte ,dans un mouvement de paupiéres nos esprits s'effleurent et s'embrasent d'un sourire.
Alors pourquoi pas en cet instant une ombre de mouvement rapproche nos corps déja si affamées de ne pouvoir être repues l'une de l'autre.
Je ne demande qu'un baiser un seul ou dans son souflle je sentirais un désir que je n'ai plus espéré depuis des éons. Qu'avant que je ne me rende compte ses mains mes lévres aient pris le relais ivres d'enfin pouvoir se libérer de tant d'entraves.
Le rat reparti dans sa cage il ne resterait que nos deux corps en conjugaison sur un canapé.
Pouvoir ressortir mes crocs et lui mordre la nuque juste sous l'ombre de ses cheveux, et la serrer si fort à la soulever et l'asseoir sur mes genoux...
Que je puisse la regarder dans toute sa hauteur, nos regards se croisant dans une lueur étonnée.
Et l'embrassais encore avant qu'elle ne réalise son erreur , briser ses principes sous le flux et reflux du désir.
Son dos paplpitant sous ma main , déboutonnais lentement ce joli chemisier pour glisser mes mains en dessous dans la douceur d'une caresse. Sentir sa poitrine se rétracter par la fraicheur de l'air et la collait contre moi qu'elle n'ai plus froid que je l'abreuve de ma chaleur...
Et puis doucement s'allonger continuer les caresses , effleurement de papillons jusqu'à que son corps se tendent vers moi que ses lévres cherchent les miennes dans un souffle
Et enfin libérer la bête, ouvrir la cage et laisser libre cours à ma faim, jouer entre douleur et plaisir dominer la situation tout en lui laissant le choix de son plaisir ... Accrocher ses cris sur le parcours de mon coeur et laisser mon empreinte dans son regard. Y revenir encore et encore jusqu'à que nos corps se brise de ne plus en pouvoir.
Et en cet instant devenir ronronnante douce d'une main dans ses cheveux et l'autre sur sa hanche la contenir prés de moi le temps que la bête recule épuisée rassasiée et pourtant si affamée encore..
Attendre le dernier baiser de l'instant que nos esprits ,geôliers de nos appétits, se remettent en marche
et là dans un éclat de rire de dernière rebellion lui voler sa bouche; lui montrer que ce n'est pas encore fini,que je ne lui laisserais plus jamais le temps de penser pour ne pas repartir de sa couche et retrouver une vie si grise...
Rien qu'une seconde encore l'aimer; l'aimer sauvagement dans le chocs de nos corps nos sueurs mélées et nos gorges rauques d'avoir trop aimées
Rien qu'une seconde encore ne pas me réveiller et garder en mon rêve ma jolie brune sans visage...
Rien qu'une seconde encore me croire une autre et y croire à nouveau.
Qu'au détour d'une plaisanterie nos regards se croisent et que la donne change que soudainement tout s'arréte ,dans un mouvement de paupiéres nos esprits s'effleurent et s'embrasent d'un sourire.
Alors pourquoi pas en cet instant une ombre de mouvement rapproche nos corps déja si affamées de ne pouvoir être repues l'une de l'autre.
Je ne demande qu'un baiser un seul ou dans son souflle je sentirais un désir que je n'ai plus espéré depuis des éons. Qu'avant que je ne me rende compte ses mains mes lévres aient pris le relais ivres d'enfin pouvoir se libérer de tant d'entraves.
Le rat reparti dans sa cage il ne resterait que nos deux corps en conjugaison sur un canapé.
Pouvoir ressortir mes crocs et lui mordre la nuque juste sous l'ombre de ses cheveux, et la serrer si fort à la soulever et l'asseoir sur mes genoux...
Que je puisse la regarder dans toute sa hauteur, nos regards se croisant dans une lueur étonnée.
Et l'embrassais encore avant qu'elle ne réalise son erreur , briser ses principes sous le flux et reflux du désir.
Son dos paplpitant sous ma main , déboutonnais lentement ce joli chemisier pour glisser mes mains en dessous dans la douceur d'une caresse. Sentir sa poitrine se rétracter par la fraicheur de l'air et la collait contre moi qu'elle n'ai plus froid que je l'abreuve de ma chaleur...
Et puis doucement s'allonger continuer les caresses , effleurement de papillons jusqu'à que son corps se tendent vers moi que ses lévres cherchent les miennes dans un souffle
Et enfin libérer la bête, ouvrir la cage et laisser libre cours à ma faim, jouer entre douleur et plaisir dominer la situation tout en lui laissant le choix de son plaisir ... Accrocher ses cris sur le parcours de mon coeur et laisser mon empreinte dans son regard. Y revenir encore et encore jusqu'à que nos corps se brise de ne plus en pouvoir.
Et en cet instant devenir ronronnante douce d'une main dans ses cheveux et l'autre sur sa hanche la contenir prés de moi le temps que la bête recule épuisée rassasiée et pourtant si affamée encore..
Attendre le dernier baiser de l'instant que nos esprits ,geôliers de nos appétits, se remettent en marche
et là dans un éclat de rire de dernière rebellion lui voler sa bouche; lui montrer que ce n'est pas encore fini,que je ne lui laisserais plus jamais le temps de penser pour ne pas repartir de sa couche et retrouver une vie si grise...
Rien qu'une seconde encore l'aimer; l'aimer sauvagement dans le chocs de nos corps nos sueurs mélées et nos gorges rauques d'avoir trop aimées
Rien qu'une seconde encore ne pas me réveiller et garder en mon rêve ma jolie brune sans visage...
Ecrit par yoshisis, le Mardi 22 Septembre 2009, 03:57 dans la rubrique Moi et mon Nombril!.
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